jeudi 23 décembre 2010

Gérer ses peurs


Gérer le stress par le contrôle de ses peurs et phobies

Connaître ses peurs et ses phobies

Les peurs d’une personne peuvent entraver ses chances de développement et de succès et générer une grande quantité de stress. La peur en elle-même peut être déprimante et peut rendre physiquement malade. Parfois, la peur d’une personne peut diriger la vie de cette personne qui devient alors dénuée de sens.

Celui qui laisse sa peur contrôler sa vie ne peut vivre normalement. Le fait est que celui qui a peur n’est pas le seul à en pâtir, mais aussi sa famille, ses amis et son entourage en général.

La peur peut être saine, car elle nous met sur nos gardes et nous rend attentifs à ce qu’il se passe autour de nous. La peur peut très bien être bénéfique. Mais une fois de plus cela requiert un grand self-control et une pensée positive.

La peur chez une personne peut venir d’un évènement lointain du passé ou d’une croyance qu’elle ne pourra pas gérer telle situation ou telle personne. La peur peut également provenir d'une autre personne, tel un parent qui nous à transféré sa crainte lors de notre enfance. Il existe des peurs fondées, mais la plupart ne sont que de pures créations de notre imagination.

La phobie est aussi la peur de quelque chose, mais c’est une peur irrationnelle. Une phobie peut être une peur ridicule ou exagérée chez certaines personnes comme la peur des chats par exemple ou de l’eau. La plupart de ceux qui ont développé des phobies sont conscients que leur peur n’est pas fondée sur la pensée rationnelle, mais malheureusement ils sont incapables de gérer leurs émotions et de surmonter ces peurs irrationnelles dont l'origine peut n'avoir aucun lien réel.

Certaines personnes font un lien direct entre la phobie et la folie, mais il n’est pas juste de conclure sur le fait qu’une personne phobique a aussi un problème de santé mentale. La phobie peut être très embarrassante surtout lorsque la personne phobique n’est pas capable de contrôler ses réactions. Certains fuient et se cachent lorsqu’ils sont confrontés à leurs phobies.

Une phobie peut simplement être la peur d’être dans une pièce fermée ou la peur de monter dans un planeur. La plupart des phobies se traduisent par des crises de paniques lorsque la personne est confrontée de force à sa phobie.

Il est normal d’avoir peur, car la peur est rationnelle. Cependant, une peur irrationnelle non fondée devient alors une phobie. Elle n’est pas normale et peut perturber une vie.

Celui qui veut se débarrasser de ses phobies ne devrait pas nécessairement consulter un médecin qui va axer la recherche que sur l’origine. Cela peut être une perte de temps, car trouver l’origine d’une phobie ne la fera pas toujours partir.  Le fait d'en trouver la cause peut par contre permettre de faire la paix avec cette portion de sa vie. Le plus important étant d'apprendre à gérer ses émotions et ne plus laisser sa phobie prendre ce contrôle. Si une personne arrive à gérer ses émotions, alors elle pourra se débarrasser de ses phobies.
Vous pourrez apprendre à mieux gérer votre vie avec le pack Pour-Vivre-Mieux

Gestion du stress

jeudi 9 décembre 2010

Le deuil

La gestion du stress face au deuil.

Le deuil est une des causes de stress qui nous frappe tous étant donné que la mort, les séparations sont inéluctables. Le deuil dépend du liens nous unissant à la personne disparue ainsi qu'a sa propre personnalité. Selon les psychologues un deuil se déroule en 3 étapes durant environs un an.

1. La détresse: c'est l'étapes choc, dès l'instant où l'on apprend la nouvelle bien que parfois celle-ci puisse être attendu elle demeure un choc que plusieurs tenterons de nier. Cette étape peut durer environs 1 semaine et peut-être accompagné de manifestation physique psycho-somatique tel que l'évanouissement, augmentation de symptôme d'une maladie chronique, tachycardie... C'est une étapes brutales que la vue du corps lors du service peut aider à surmonter. Dans le cas d'un corps non retrouver ce deuil peut être plus difficile car l'étape du déni perdure trop longtemps.

2.Le travail du deuil: c'est une période de repli où la personne ressent plusieurs états de stress émotionnels différents et cela dépendra du lien vécu ainsi que de la violence du choc percutant l'endeuillé. L'on peut passer de l'un à l'autre et ce dans l'ordre ou le désordre, l'important étant de conceptualiser cette séparation progressivement. Cette étape d'environ 6 à 12 mois peut-être plus longue en cas de non acceptation ou d'une perte subite et violente ou celle d'un enfant. L'état psychologie au moment du deuil ou l'engendrement d'une quantité de deuil au même instant peut également prolonger le deuil et engendrer un stress supplémentaire.

-La colère: C'est lorsque l'on en veut au défunt, avec des pensées comme: Il n'aurais pas du m'abandonné, c'est sa faute, s'il n'avait pas été présent ce jour là... Ceci peut aussi être diriger vers une toute autres personne; C'est la faute du chauffard, du personnel médical... Finalement la personne peut également se porter la culpabilité du décès; j'aurais du être plus présent, j'aurais du l'avertir.....
-La tristesse, pouvant même mener à la dépression: C'est le repli sur soi, l’absence de désir, les pleures, c'est l'instant ou ce deuil peut paraître insurmontable.
-L'incorporation, c'est alors que l'on débute à vouloir conserver la mémoire, le désir de le sentir à ses côtés en agissant comme lui, en portant ses vêtements, ses tics...

3.L'acceptation: C'est alors que l'on peut reprendre son équilibre face au deuil étant capable d'accepter et faire face au présent. Le défunt peut alors conserver sa place dans nos souvenirs.


Le deuil n'est en aucun cas une maladie psychiatrique, il est une étape normale dans notre société dans l'acceptation d'une disparition. Il est important de ne pas nier la douleur, de la vivre et d'apprendre à surmonter cette étape afin de vivre au présent. La prise d'antidépresseur ne fait quant à lui qu'endormir cette pertes et ne permet donc pas d'effectuer un deuil. Il peut être nécessaire par contre de consulter pour obtenir de l'aide et de l'écoute. ce peut être également important si le stress apporté lors de cette séparation apporte de la dévalorisation ou des idées suicidaires.

Pour une personne à l'écoute de ses émotions, en équilibre avec son corps et son esprit ainsi qu'ayant une saine estime de soi aura une capacité supplémentaire à effectuer rapidement un deuil. Par contre certain peuvent se faire une carapace et croire que le deuil est fini et ne l'auront que refoulé et par le fait même créerons un stress qui pourrais se transformer en malaise ou maladie dans leur corps.

Veuillez à prendre le temps nécessaire et vous entourer de gens pour vous aider à bien effectuer votre deuil.

Pour de plus ample information, un consultation: dambou@damboushow.com

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La gestion du stress.

dimanche 21 novembre 2010

Gestion du stress

Le stress ce mal de la société occidental contemporaine est maintenant rendu un fléau. À la base le stress n'est pas en soi mauvais étant une réaction normale du corps. Nos glandes surrénales produisent du cortisol ce qui à pour effet de nous maintenir en alerte et nous permettre de réagir à l'élément perturbateur. Cela agis comme une stimulation et pousse à être plus performant, créatif et réactif dans une situation d'urgence.
 
Le bon stress, eustress, permet également le surpassement de soi que ce soit lors d'une compétition sportive ou un événement inhabituel. Plusieurs vont le recherché dans la passion, les activités extrêmes et autres.




La complication étant que le corps n'est pas habilité à géré continuellement un haut taux de cortisol, ce qui à des répercutions sur l'hippocampe dont l'un des rôle étant de stabiliser. S'il ne peut répondre normalement le cerveau et les organes vitaux seront envahis par le cortisol se retrouvant dans le sang. Pour débuter le corps manquera gravement d'énergie, ce qui diminuera l'efficacité du corps, peut s'en suivre des maux de têtes, ulcères à l'estomac. Plusieurs symptômes d'ordre physiques et psychologiques peuvent également en résulter. Un stress trop puissant ou d'une trop longue duré peut nuire énormément au système, crée une dépression voir même générer la mort.

Dans notre société actuelle nous sommes confronté à de plus en plus d'élément stressant. Que ce soit au travail, à la maison, sur la route et même en voyage. Le temps deviens un élément pervers auquel nous devons apprendre à gérer. Les difficultés financières, les troubles de communications et bien d'autres sont également des générateurs de stress. Certains facteurs sont internes donc propre à soi tel que l'humeur, image de soi et d'autres sont externe comme mentionné ci haut, les fiances, trouble de santé...

Nous réagissons tous différemment aux facteurs de stress, certains peuvent demeurer calme et intransigeant dans une situation ou d'autres deviendront hyper stressé voir même agressif. Ceci est dû à différent paramètres pouvant s'additionner entre eux, comme par exemple: nos pensées, nos comportements, des facteurs physiologiques, nos sentiments, notre culture et mêmes la périodes. Pour une même personne une situation peut générer un niveau de stress totalement différent une journée plutôt qu'un autre ou si cette situation arrive à la suite d'une autre. Dans la même ligne d'idée, l'humeur peut jouer énormément sur notre réactivité. Le contexte culturel peut jouer quant à lui car certaine culture sont à la base plus stressé, ou même une situation peut produire une pression particulière quant au contexte culturel ou religieux.

La duré de la situation ou l'enchainement de trop de situations stressantes peut donc crée un épuisement ou de l'hyper stress.


Je vous parlerai prochainement de la gestion de ce stress.

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samedi 9 octobre 2010

Être

L’être est un élément qui peut s’avérer complexe, un corps, un système de pensées conscientes et inconscientes. Pensées souvent contrôlés par nos émotions, nos peurs, nos doutes, notre environnement. Il est important d’apprendre à se libérer des éléments externes qui peuvent nous gouverner et apprendre à se concentrer sur soi. Car nul endroit ne devrait être plus agréable que « Sa demeure », son être intérieur. Peut importe l’endroit où l’on se retrouve sur terre, nous faisons toujours face à soi, nos pensées, nos agissements....  Il est impossible de fuir ses problèmes, la seule issue étant d’apprendre à trouver des solutions et de cheminer.
Tout est question de vision, pour certain, un problème devient une barrière infranchissable. Ce que d’autres trouverons simplement qu’un nouveau défi, une opportunité pour trouver de nouveaux éléments et même empêcher la monotonie. Cette vision se reflétera dans toutes les sphères de la vie et surtout  au niveau du bonheur.
Beaucoup le recherche, « Maudit bonheur, Beau dommage » vous connaissez cette chansons. Beaucoup pensent que le bonheur les fuit, mais en réalité c’est faux. Le bonheur n’est pas un élément palpable que l’on peut obtenir, ni même acheter d’une source externe. Le bonheur c’est une vision, une façon de penser. C’est intérieur à chacun, le bonheur est un choix. Il faut prendre la décision que peut importe ce qu’il arrive, je prendrai la vie avec le sourire et parcimonie. Voilà ce qu’est le bonheur, préférer être heureux. Mais pour être heureux il faut aussi être bien.
Être bien, c’est quoi, c’est être soi, se connaitre, s’affirmer et surtout s’aimer. Oui s’apprécier comme l’on est, s’accepter. Chacun est différent et a quelques choses à apporter aux autres. Mais pour cela il faut d’abord trouver ce que l’on peut être à même de s’apporter à soi. Je suis moi. Cette phrase peut sembler banale, mais elle ne l’est pas, elle met l’emphase sur un soi qui est important, qui a de la valeur. De la valeur, oui car nous recherchons l’amour des autres pour combler ce manque d’amour propre à l’intérieur.
L’amour des autres sera toujours auxiliaire et superficiel car viendra toujours un instant où l’on se rendra compte qu’un tel ne aime pas comme on le voudrait, où cette personne disparait. L’important, l’amour numéro un dois être  SOI. Celui qui s’aime et s’apprécie saura trouver l’amour saine et réciproque auprès des gens qui l’environnent. Pensez-y un instant, comment peut-on exiger d’une personne de nous  aimer si nous même en sommes incapables?
Le respect fonctionne sous le même principe, comment exiger des autres du respect si l’on ne se respecte pas soi même? Tout dois partir de soi, nous sommes le numéro un de notre vie. Apprenons donc à se respecter, s’accepter, s’aimer… et ainsi vivre une vie plus  saine et équilibré.
Je vous ai présenté un texte des plus court, chacun de ses sujets mérite beaucoup plus d’attention et plusieurs points n’ont même pas été soulevé. C’est pour cette raison que j’ai conçu une séquence de newsletter que je vous offre totalement gratuitement sur le lien suivant.


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